Vingt-sixième numéro des Possibles, la revue éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac

mardi 15 décembre 2020, par Le Conseil scientifique d’Attac France

Le vingt-sixième numéro de la revue trimestrielle Les Possibles, éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac, est disponible. Retrouvez ci-dessous le sommaire de ce numéro et inscrivez-vous pour recevoir la revue.

Retrouvez le sommaire de ce vingt-sixième numéro.

Les précédents numéro sont disponibles en ligne Numéro 1 ; Numéro 2 ; Numéro 3 ; Numéro 4 ; Numéro 5 ; Numéro 6 ; Numéro 7 ; Numéro 8 ; Numéro 9 ; Numéro 10, Numéro 11, Numéro 12, Numéro 13, Numéro 14 ; Numéro 15 ; Numéro 16 ; Numéro 17 ; Numéro 18 ; Numéro 19 ; Numéro 20 ; Numéro 21 ; Numéro 22 ; Numéro 23 ; Numéro 24 ; Numéro 25.

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Introduction : Le monde est notre commun, à tous les vivants (Jean-Marie Harribey)

Pour introduire ce numéro des Possibles, commençons par rouvrir Les structures élémentaires de la parenté de Claude Lévi-Strauss [1], et retrouvons quelques-unes des maximes ou aphorismes qu’il met en exergue de certains des chapitres de ce livre fondateur de l’anthropologie du XXe siècle : « Un parent par alliance est une cuisse d’éléphant » (Rév. A.L. Bishop, cité dans l’introduction) ; « Ta propre mère/ Ta propre sœur/ Tes propres porcs/ Tes propres ignames que tu as empilés/ Tu ne peux les manger/ Les mères des autres/ Les sœurs des autres/ Les porcs des autres/ Les ignames des autres qu’ils ont empilés/ Tu peux les manger (Aphorismes arapesh cités par M. Mead, cité par Lévi-Strauss au début de la première partie).

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Dossier : Vers la fin de la séparation société/nature ?

L’homme en société et ses relations techniques avec l’environnement : ni nature, ni Gaïa (Claude Calame)

« La technique se présente bien plutôt pour Fourier comme l’étincelle qui met le feu aux poudres de la nature (…). La conception postérieure de l’exploitation de la nature pour l’homme est le reflet de l’exploitation de l’homme par les propriétaires des moyens de production. Si l’intégration de la technique dans la vie sociale a échoué, la faute en est à cette exploitation ». Ces mots introductifs, nous les devons à Walter Benjamin dans l’essai qui ouvre Paris Capitale du XIXe siècle (1939/2003 : 17).

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De l’éthique du statut à l’éthique des relations (Catherine Larrère)

La deuxième moitié du XXe siècle, à partir des années 1950, a été marquée par l’attention croissante portée à la dégradation de la situation environnementale, au niveau de la planète entière : déforestation, diminution des espaces considérés comme sauvages par suite de l’avancée des activités agricoles, industrielles ou du développement urbain, épuisement des ressources naturelles (énergétiques notamment), augmentation des pollutions (des eaux, des airs et du sol), croissance démographique rapide accentuant la pression humaine sur la terre, où de moins en moins de place était laissée aux vivants non humains. Non seulement l’environnement naturel était menacé par les activités humaines, mais les dégâts que celles-ci entraînaient mettaient également en danger la poursuite de la vie humaine et des activités techniques.

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Que donne la nature ? (Alain Caillé)

Quelques diversités qui aient pu exister entre elles, toutes les cultures traditionnelles ont en commun d’avoir considéré les relations entre les hommes et les êtres de leur environnement naturel, animaux, plantes, montagnes, étoiles, esprits du lieu, génies etc. comme des relations de don et de contredon. Il fallait donner ou rendre à la nature pour qu’elle continue à donner à son tour et se montre féconde et généreuse. Ou pour apaiser son courroux.

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Une illustration du « perspectivisme » amérindien avec Ailton Krenak (Geneviève Azam)

Ailton Kenak est une figure du mouvement des peuples autochtones au Brésil. Il vit dans l’État du Minas Gerais, dans un village au bord du fleuve Watu, contaminé par les pollutions toxiques venues de la rupture, en 2015, d’un barrage minier exploité par la célèbre multinationale brésilienne Vale et un consortium anglo-australien. Ce crime fut, écrit-il, dans Idées pour retarder la fin du monde, (Éditions Dehors, 2020) l’expérience d’un monde qui a pris fin. Et pour tous les peuples qui « ont reçu la visite » des Européens et qui sont morts, le monde a pris fin au XVIe siècle.

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Nature et société (culture) : de quelle séparation ou « partage » est-il question ? Un essai de clarification conceptuelle. (Fabrice Flipo)

L’humanité aurait connu une « séparation » avec la nature, et il s’agirait d’y mettre fin. À l’époque de la crise écologique, cette idée paraît évidente. Le souci est qu’elle est revendiquée par des partis pris très différents, d’un polanyisme vague évoquant la nécessité de « réenchâsser » la société dans la nature, jusqu’à la deep ecology d’Arne Naess, en passant par ceux qui, souhaitant se rapprocher de la nature, sont conduits à encourager l’étalement urbain. Le concept de nature, par sa généralité, égare bien souvent, les malentendus sont nombreux, d’où le succès de la solution latourienne qui invite à s’en passer, au profit d’une distinction humains / non-humains. Pourtant, ni les enjeux ni les mots pour les nommer ne disparaissent simplement parce qu’on décide de les taire. Au contraire, le débat gagne en confusion ce qu’il avait cru perdre en complication. À l’examen, le concept de nature ne semble pas poser de difficulté telle qu’il y aurait urgence à s’en passer, vers une « composition des mondes ».

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Les pieds sur terre, Lire « Abondance et liberté » de Pierre Charbonnier (Jean-Marie Harribey)

Dans la multitude de publications portant sur la crise écologique, je fais une place particulière à l’ouvrage du philosophe Pierre Charbonnier, Abondance et liberté, Une histoire environnementale des idées politiques (La Découverte, 2020). Un ouvrage d’une très grande densité, qui demande donc une attention soutenue, mais dont le lecteur sort enrichi de réflexions approfondies. Il ne répète pas ce que tout le monde connaît maintenant, des dégradations environnementales au réchauffement du climat, mais, dans les pas des anthropologues et philosophes comme Claude Lévi-Straus, Philippe Descola ou Bruno Latour, il propose une problématique susceptible de bousculer bien des croyances ancrées, aussi bien du côté des écologistes patentés que de leurs contempteurs. « Plutôt que l’histoire brève et continue de la prise de conscience environnementale, on écrira donc l’histoire longue et pleine de ruptures des rapports entre la pensée politique et les formes de subsistance, de territorialité et de connaissance écologique. » (p. 30).

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Sur l’Abondance et liberté, réponse à Jean-Marie Harribey (Pierre Charbonnier)

Je remercie Jean-Marie Harribey pour sa lecture et ses commentaires critiques qui, en plus d’être formulés de façon précise et civile (exercice qui semble actuellement hors de portée d’une bonne partie de nos collègues), touchent à des points centraux de mon travail. Disons plutôt, des points qui auraient pu être centraux mais qui sont restés dans les angles morts de Abondance et liberté.
Je m’en tiendrai à deux aspects de cette lecture, qui tiennent pour le premier à la question de la valeur, c’est-à-dire de la théorie économique et en particulier de mon rapport à Marx ; et pour le second à la question de la liberté et des Lumières, c’est-à-dire à des questions de philosophie morale et politique.

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Les droits des écosystèmes bientôt reconnus en France ? (Valérie Cabanes, Marie Toussaint)

De plus en plus de voix s’élèvent pour qu’une personnalité juridique soit reconnue à la nature. Loin d’amoindrir les droits humains, c’est une révolution civilisationnelle appelée à s’amplifier.
En mars, nous vous parlions de l’initiative du parlement de Loire, portée par un pôle d’urbanisme, le Polau, visant à donner
une voix à ce fleuve. Une initiative qui était encore isolée, tant reconnaître les droits de la nature semblait encore folklorique.

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La personnalisation de la nature et ses alternatives (François Ost)

Ésotérique, hier encore, l’idée de personnaliser certains éléments essentiels du milieu naturel fait aujourd’hui son chemin et connaît des concrétisations constitutionnelles, législatives et jurisprudentielles remarquées (1). Traditionnellement, cette idée, dont on a pu dire qu’elle relevait de l’« animisme juridique », suscitait objections et réserves ; celles-ci sont-elles encore d’actualité dans un monde globalisé qui, de surcroît, fait son entrée dans l’Anthropocène ? (2). On examinera, par ailleurs, un certain nombre d’alternatives juridiques susceptibles également d’assurer, par d’autres voies, une protection renforcée des milieux naturels (3). Enfin, on s’interrogera sur les nombreux obstacles qu’une transition écologique par le droit aura à surmonter (4).

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Femmes et environnementalisme ordinaire (Nathalie Blanc)

Il est de notoriété publique que l’environnement planétaire est considérablement dégradé et régi par des dynamiques, d’ores et déjà, catastrophiques. Qu’il s’agisse de changement climatique, d’érosion de la biodiversité, d’acidification des océans, les limites planétaires sont atteintes. En France, six d’entre elles sont franchies. Notre formation de géographe, d’environnementaliste et d’artiste, ainsi que notre héritage de féministe, inscrits depuis longtemps dans les luttes des gauches, nous conduisent à ne pas considérer que ces problèmes sont uniquement naturels. Ils sont naturels et sociaux.

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Débats

La collapsologie, une impasse réactionnaire (Stéphanie Treillet)

La collapsologie, néologisme forgé par Pablo Servigne, Raphaël Stevens et Gauthier Chapelle pour désigner, à travers leurs ouvrages, articles et conférences divers, ce qu’ils caractérisent comme une « science de l’effondrement », bénéficie d’une couverture médiatique importante et d’un écho dans une partie de l’opinion accru par la crise sanitaire. Si plusieurs constats sur l’interconnexion des différentes crises systémiques du monde contemporain peuvent faire accord, l’analyse des « collapsologues » présente un grand nombre de limites : un statut scientifique très fragile en dépit de leurs prétentions, une occultation de plusieurs mécanismes essentiels des évolutions environnementales et sociales actuelles. Leur refus de traiter du capitalisme les conduit enfin à proposer des perspectives qui constituent au mieux un repli, au pire une impasse réactionnaire.

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L’agroécologie paysanne pour une Terre vivante (Isabelle Bourboulon)

Depuis que sonne l’alerte de la crise climatique et que se multiplient ses manifestations dans le monde, le modèle productiviste agricole dominant est mis en cause pour sa responsabilité dans le réchauffement du climat (plus d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre à l’échelle de la planète). Mais on perçoit moins à quel point ce modèle productiviste est source d’inégalités et, y compris, d’insécurité alimentaire. En réponse à un système désastreux à tous égards, les alternatives productives et économiques de l’agroécologie paysanne constituent un véritable outil de transformation sociale.

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Réglementation et enjeux des projets d’irrigation agricole dans un contexte de changement climatique (Thierry Uso)

Après avoir rappelé le lobbying de l’agrobusiness auprès des gouvernements qui se sont succédé depuis les années 2010 pour obtenir une relance tous azimuts de l’irrigation agricole et son financement par les agences de l’eau et les collectivités territoriales, nous décrirons la réglementation des projets de territoire pour la gestion de l’eau (PTGE, voir à la fin de l’article la liste des sigles et des acronymes), dans lesquels doivent désormais s’inscrire les projets d’irrigation agricole, et les problèmes que cette réglementation soulève. Puis, nous décrirons les impacts plus ou moins forts sur l’environnement, la société et l’économie qu’entraîne tout projet d’irrigation, en l’illustrant à partir d’exemples pris en région méditerranéenne. Enfin, nous indiquerons quels critères devrait remplir un projet d’irrigation agricole pour être durable et préserver les milieux aquatiques, et cela dans un contexte climatique où les périodes de sécheresse sont de plus en plus fréquentes et intenses.

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Vers la décroissance démographique (Dominique Taddei)

Originellement, la démographie est née, en Angleterre au milieu du XVIIe siècle, sans doute sous l’impulsion de John Locke, en s’intéressant centralement à la mortalité, avec la publication, en 1662, des Observations naturelles et politiques sur les tables de mortalité de la ville de Londres (H. Le Bras, Paris, Gallimard/Le seuil, 2001). Il est vrai qu’il fut longtemps impossible d’avoir des statistiques de valeur équivalente pour la natalité, compte tenu du fait que l’enregistrement effectué était celui des actes de baptême et qu’il conduisait ainsi à sous-estimer les naissances, ainsi que la mortalité infantile qui était celle de toutes les sociétés anciennes. Heureusement, cette origine politique de la démographie eut, pour effet attendu, un siècle plus tard, de commencer à améliorer les niveaux d’hygiène, de santé publique et de surveillance générale des conditions de vie de toute la population, et notamment des femmes et des enfants.

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Il n’y a pas de monnaie magique, mais il pourrait y avoir un usage démocratique de la monnaie (Jean-Marie Harribey)

La monnaie, cette construction sociale à part entière, fait l’objet de discussions permanentes, certaines très étonnantes, que les conséquences de la pandémie du coronavirus Covid-19 ont encore avivées. Ce serait impossible d’en dresser la liste complète. On peut juste tenter d’énumérer les points les plus saillants ou les plus fréquemment controversés. Dans ce court texte, l’objectif est, d’une part, de rappeler les éléments les plus élémentaires sur la monnaie (les deux premiers points ci-après) qui peuvent recueillir un assez large accord, même s’il existe encore quelques réfractaires, et, d’autre part, de présenter quels sont ceux qui sont âprement discutés parmi les économistes, les dirigeants des institutions financières et les politiques (les cinq points suivants). Je précise que sur aucun des sept points que je présente ci-dessous, il n’y a d’innovation théorique de ma part. Tous ces points sont depuis fort longtemps dans le débat public, mais plusieurs d’entre eux sont souvent passés sous silence ou niés.

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La multiplication des spécialités médicales : une médecine pour dominer et vaincre la nature plus que pour assurer une meilleure santé à l’Homme (Michel Thomas)

La société dans laquelle nous vivons, sous la férule du capitalisme financier, entend tout subordonner à la recherche de profits, y compris la nature (dont fait partie l’Homme). Dominer, dompter la nature est présenté comme le but de l’humanité, que les outils modernes (technologie, informatique, intelligence artificielle…) mettraient plus que jamais à notre immédiate portée.

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Pour une démocratie éthique et transparente : agir contre l’oligarchie néolibérale et la corruption qu’elle entretient (Raymond Bonomo, Martine Boudet, Robert Joumard)

« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice. »
Cette citation de Montesquieu est adaptée à notre période, qui voit s’accumuler les affaires impliquant des élus et responsables dans des conflits d’intérêts dans les hautes sphères de l’État.

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À l’attention des lecteurs, note sur le statut de la revue Les Possibles

La revue Les Possibles a maintenant quatre ans d’âge et sa diffusion progresse régulièrement. Nous rappelons qu’elle fut créée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac pour être un lieu de débat théorique sur la nécessaire transformation de la société, aujourd’hui minée par le capitalisme néolibéral. Dès lors, ouverte à toutes les personnes qui s’inscrivent dans cette perspective, elle est indépendante de l’association Attac, le contenu des articles est de la responsabilité de leurs auteurs et n’engage pas l’association. La diversité des sujets, des auteurs et des disciplines témoigne de la volonté de garantir le pluralisme des idées. Le choix des thèmes et le respect des règles du débat scientifique et démocratique sont assurés par un comité éditorial dont la composition figure à la fin du sommaire.
Le comité éditorial

Adresse

Attac, 21 ter rue Voltaire, 75011 Paris

Directeur de la publication

Jean-Marie Harribey

Secrétariat de la rédaction

Isabelle Bourboulon, Edgard Deffaud, Jean-Marie Harribey, Esther Jeffers, Éric Le Gall, Christiane Marty, Pascal Paquin, Dominique Plihon, Jean Tosti

Responsables techniques

Edgard Deffaud, Serge Gardien, Éric Le Gall, Wilfried Maurin, Pascal Paquin, Rémi Sergé, Olivier Tétard, Valentin Drean

Comité éditorial

Sylvie Agard, Christophe Aguiton, Verveine Angeli, Paul Ariès, Geneviève Azam, Daniel Bachet, Jacques Berthelot, Catherine Bloch-London, Martine Boudet, Isabelle Bourboulon, Thierry Brugvin, Thierry Brun, Alain Caillé, Claude Calame, Christian Celdran, François Chesnais, Francoise Clement, Pierre Concialdi, Jacques Cossart, Annick Coupé, Thomas Coutrot, Christian Delarue, Vincent Drezet, Cédric Durand, Guillaume Duval, Mireille Fanon-Mendès-France, Daniel Faugeron, David Flacher, Fabrice Flipo, Pascal Franchet, Bernard Friot, Jean Gadrey, Susan George, Jérôme Gleizes, Gérard Gourguechon, André Grimaldi, Janette Habel, Nicolas Haeringer, Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Esther Jeffers, Isaac Johsua, Pierre Khalfa, Serge Le Quéau, Frédéric Lemaire, Christiane Marty, Gus Massiah, Antoine Math, Dominique Méda, Georges Menahem, Pascal Paquin, René Passet, Évelyne Perrin, Dominique Plihon, Thierry Pouch, Daniel Rallet, Jean-Claude Salomon, Catherine Samary, Denis Sieffert, Vicky Skoumbi, Jean-Louis Sounes, Daniel Tanuro, Bruno Tinel, Michel Thomas, Jean Tosti, Éric Toussaint, Stéphanie Treillet, Aurélie Trouvé, Patrick Viveret

Contact avec la revue et soumission d’articles

Les propositions d’articles nouveaux ainsi que les contributions répondant à des textes publiés dans les numéros précédents de la revue doivent être adressées au secrétariat de la revue : revue-cs-secretariat@list.attac.org

La revue a noué un partenariat avec Mediapart à travers une « édition » créée sur ce site : http://blogs.mediapart.fr/edition/la-revue-du-conseil-scientifique-dattac. À chaque parution trimestrielle de la revue, un des articles sera mis en ligne sur Mediapart.

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